Alice Debord attend peut-être quelque indulgence pour ses nombreuses indélicatesses d'arrière-boutique et de tiroir-caisse, du fait qu'elle aurait été associée à l'édition de Guy Debord. Mais, comme l’écrivait l'auteur de La Société du spectacle à propos d’un autre récupérateur, « ceci ne donne pas des “droits”, mais plutôt des “devoirs”. Si l'on s'est mêlé, même de loin, à ces choses, toute prostitution ultérieure n'appelle pas l'indulgence mais au contraire la sévérité. De plus, nous ne sommes plus en 1920, ni même en 1957, mais au temps de la mode relative de ces questions, qui doit donc entraîner plus d'exigences, et plus de défense contre les nouvelles formes de pratiques de “censure” de leur sens réel, pratiques plus subtiles (?) - ce que certains appellent "récupération". » (Lettre à Jaap Kloosterman du 19 février 1976)
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire