tag:blogger.com,1999:blog-677416345599116147.post1672666566180382103..comments2022-04-22T21:44:49.801-07:00Comments on Jules Bonnot de la Bande: J. S. (1947-2010)Jules Bonnot de la Bandehttp://www.blogger.com/profile/04006311548538677062noreply@blogger.comBlogger5125tag:blogger.com,1999:blog-677416345599116147.post-51642661264620527102011-02-04T07:24:24.511-08:002011-02-04T07:24:24.511-08:00(Pour faire suite au commentaire anonyme du 15 aoû...(Pour faire suite au commentaire anonyme du 15 août 2010.) Et pourtant: "Comme "Andromaque, je pense à vous!", ces "Notes" inachevées [sur des tableaux de Pascal Vinardel] révèlent un penchant lyrique, nourri de réminiscences littéraires et de souvenirs d'enfance, qui n'affleurent que très discrètement dans les écrits publiés du vivant de l'auteur." (Note de l'éditeur accompagnant "Andromaque, je pense à vous!" de Jaime Semprun).Jules Bonnot de la Bandehttps://www.blogger.com/profile/04006311548538677062noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-677416345599116147.post-13335337337264335752010-08-30T03:20:53.672-07:002010-08-30T03:20:53.672-07:00J'aperçois pourtant sur mon écran le texte que...J'aperçois pourtant sur mon écran le texte que vous ne voyez pas : Cette image n'est pas, croyons-nous, "de celles qui servent à imaginer juste" ("imaginer juste" en italiques). Une autre personne m'a signalé ce problème technique.Jules Bonnot de la Bandehttps://www.blogger.com/profile/04006311548538677062noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-677416345599116147.post-49567791635120999152010-08-29T10:01:55.344-07:002010-08-29T10:01:55.344-07:00Cette image n'est pas, croyons-nous, », comme...Cette image n'est pas, croyons-nous, », comme l'écrivain Semprun dans L'Abîme se repeuple. <br />Du texte a sauté dans votre texte…Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-677416345599116147.post-27242567812873279662010-08-28T13:06:33.241-07:002010-08-28T13:06:33.241-07:00"L'ignorance, c'est la force...."..."L'ignorance, c'est la force...."<br /> <br />Nous fumes quelques uns pourtant à pointer dans "les encombrants" le grotesque qui ne manquerait pas de survenir sur la mule bonasse de la falsification...<br /><br />Le coup de la photo du père en lieu et place de celle introuvable du fils était à ce titre d'une éloquence qui nous plongea le jour même de sa mise en ligne presque dans le rire à sternum déployé tant cela était indécrottablement cocasse...Mais non.<br /><br />Cordialement.<br />Steph.<br />http://nosotros.incontrolados.over-blog.com/article-deces-de-jaime-semprun-filouterie-grotesque-des-merdia-55238399.htmlles amis du négatif à l'oeuvrehttp://nosotros.incontrolados.over-blog.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-677416345599116147.post-53260730542055377392010-08-15T13:39:56.365-07:002010-08-15T13:39:56.365-07:00Ce qui est surprenant, c'est la froideur du co...Ce qui est surprenant, c'est la froideur du communiqué des Editions de l'EdN au regard de l'émotion qui sourd de l'article de Jean-Luc Porquet dans le "Canard". Dans le premier cas, on a affaire à un texte dont la sécheresse relève du constat d'accident (ni chair ni sang), dans l'autre, à une déclaration d'amitié, comme le dit d'ailleurs éloquemment son titre : « Quand un ami s'en va ». On peut sans doute critiquer l'enthousiasme posthume du "Canard" mais trouver également choquant l'absence patente de sensibilité du communiqué des Editions de l'EdN (après tout Jaime Semprun était leur ami sinon leur leader). Il faut donc croire que les sentiments et leur expression font partie des nuisances pour les partisans de l'EdN.Anonymousnoreply@blogger.com